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 WINDSOR ▽ l'amour sera toujours cette moitié de nous qu'il reste à faire.

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AuteurMessage
Isÿe (Windsor)
Isÿe (Windsor)
MUDBLOOD next time, make it hurt bitch.

BELLE ils n'étaient pas toujours d'accord, en fait ils n'étaient jamais d'accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun : ils étaient fou l'un de l'autre - WINDSAGHT ♥

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parchemins : 1120
maître/esclave : eothain, le crétin.
coté coeur ? : joker.


→ a little touch of magic
MON CAMP MAGIQUE: Les Rebelles
ET SI LA GUERRE RECOMMENCE: Je me battrais pour la liberté.
MES AMIS, MES AMOURS, MES EMMERDES:

WINDSOR ▽  l'amour sera toujours cette moitié de nous qu'il reste à faire. Empty
MessageSujet: WINDSOR ▽ l'amour sera toujours cette moitié de nous qu'il reste à faire.   WINDSOR ▽  l'amour sera toujours cette moitié de nous qu'il reste à faire. EmptyVen 13 Juil - 17:47

isÿe-belle (windsor) & saige-ella (windsor)
oh yes, the past can hurt. but you can either run from it, or learn from it. ✖ puiqu'on ne sera toujours que la moitié d'un tout, puisqu'on ne sera jamais, que la moitié de nous. bien sûr que rien ne pourra jamais nous l'enlever, bien plus que tout ce que la vie peut nous accorder. l'amour sera toujours cette moitié de nous qu'il reste à faire.
© chinook.


La jeune fille soupira alors qu’elle reposait le panier rempli de linges sales, son front couvert de sueur. Depuis l’aube, elle aidait les esclaves de l’école avec le nettoyage des draps des élèves et elle était morte de fatigue. Depuis plusieurs jours, elle n’avait cessé de trimer pour aider ses semblables, pour qu’ils ne soient pas submerger par le travail. En effet, elle avait eu vent du bal qui se préparait et de ce que cela impliquait. Du travail, toujours plus de travail pour les prisonniers. Et la venue de personnalités plus détestables les unes que les autres. Isÿe aurait bien attendue les prochaines vacances pour revoir la détestable tête de sieur Lysaght Senior, qu’elle avait envie d’embrocher avec une fourchette à chaque fois qu’il rentrait dans une pièce. Cet homme était abject et il la répugnait au plus haut point. Il était tout ce qu’elle pouvait bien haïr. Et pire encore, il essayait d’entrainer son fils dans sa spirale de cruauté et de méchanceté. Malheureusement pour lui, il avait Isÿe en adversaire. Ils étaient l’ombre et la lumière, les ténèbres dans le cœur d’Eothain et la lumière prête à les dissiper. Pas étonnant qu’il ne puisse pas non plus la voir en peinture. Elle le voyait bien dans le regard qu’il posait sur elle par moment. Froid. Sans pitié. S’il pouvait l’étrangler de ses propres mains, il le ferait sans le moindre doute. Malheureusement pour lui, sa propre loi l’en empêchait. Seul le propriétaire d’un esclave pouvait s’en prendre à ce dernier et personne d’autre. A cette pensée, sa main se posa sur la mitaine noire de son bras droit qu’elle portait avec sa jumelle gauche depuis le fameux incident. Cette dernière remontait jusqu’au haut de son bras et empêchait la marque maudite d’apparaitre. La possessivité d’Eothain ne connaissait aucune limite et une fois de plus, il venait de le montrer. Elle détestait ça, elle avait l’impression d’être marquée comme du bétail. Mais comme à chaque fois que quelque chose de négatif se passait, elle essayait de voir le positif et elle avait trouvé finalement après mûres réflexions une bonne facette à cette cicatrice : si la catin de Borthwick venait à apprendre qu’elle portait la marque de son fiancée, elle en serait folle de rage et de jalousie. Et elle donnerait n’importe quoi pour voir ça !

Elle soupira alors qu’elle reposait son panier dans un coin, s’asseyant un instant au sol. Elle était épuisée et elle aurait bien pris une petite pause. Mais elle savait pertinemment qu’elle n’avait pas vraiment le temps pour ça. Certains en cet instant, l’auraient trouvée totalement paradoxale. D’un côté, elle refusait presque toutes les tâches qu’Eothain pouvait bien lui demander et de l’autre, elle ne rechignait pas à aider ses camarades dans les pires travaux que l’on puisse imaginer. La vérité, ce n’était pas qu’elle était atteinte d’une forme de schizophrénie particulière ni même qu’elle était plus feignante qu’une autre, c’était juste qu’elle refusait d’être le petit toutou d’un autre. Elle ne courberait jamais l’échine face à son tortionnaire et il aurait beau la brimer encore et encore, cela ne changerait rien. Elle était fière, insoumise et il devrait apprendre à vivre avec. Elle soupira alors que son regard finissait par attraper une chevelure blonde trop bien connue. Saige. Ou plutôt, Ella, sa sœur secrète. Elle avançait rapidement, sans regarder derrière ou autour d’elle et elle se demandait ben ce qui pouvait justifier un tel comportement de sa part. Sans plus attendre, elle se releva, épousseta sa robe et elle partit à sa suite, la pistant dans les dédales du château, jusqu’aux toilettes désinfectés du deuxième étage dans lesquels elle semblait s’être réfugiée. S’y glissant silencieusement, elle referma la porte derrière elle avec son pied en faisant attention à ce que personne ne la voit. « Ella ? » elle sourit en apercevant sa sœur assise un peu plus loin, au niveau des robinets et elle se rapprocha de cette dernière, s’immobilisant juste devant elle, les mains sur les hanches. « Qu’est-ce que tu fais ici ? Ce n’est pas l’endroit le plus glamour de Poudlard ! » Et c’était peu dire. Entre les WC cassés, une fuite d’eau qui mouillait le sol et les portes branlantes, l’endroit était quelque peu glauque et sinistre. Elle se baissa sur ses genoux et regarda alors sa jumelle droit dans les yeux. « Il s’est passé quelque chose ? » Elles se connaissaient par cœur et pour cause : elles n’étaient nées qu’à quelques minutes d’écart, du même ventre, de la même mère. Isÿe était l’ainée et elle avait toujours ressenti le besoin de protéger Saige. Elle était plus douce, plus fragile, plus tranquille. Elle était plus gentille, plus délicate : c’était une véritable princesse de contes de fées. Elle, elle n’avait rien de l’aristocrate qu’elle était en réalité : elle était intenable, cynique et explosive. La fille en feu, comme ils disaient tous dans son dos. Elle tendit une main et elle caressa doucement la joue de sa vis-à-vis. Elles ne se ressemblaient pas mais alors pas du tout. Saige était si belle que cela en était presque irréelle alors qu’elle, elle était laide, il était vraiment difficile d’imaginer qu’elles aient pu être conçues en même temps. Quand elles étaient plus jeunes, Isÿe avait pour habitude de dire qu’elle était le brouillon avant le chef-d’œuvre. Et elle le pensait toujours aujourd’hui. Elle ne pouvait cependant plus l’affirmer, le lien devant être avant tout tenu secret pour leur propre protection. Même Bralleth n’était pas au courant et pourtant, elle aurait voulu le lui confier. Mais elle ne le pouvait pas : merlin seul savait ce que les tarés du conseil de sorcellerie leur feraient s’ils apprenaient la vérité ! Et s’ils apprenaient aussi pour leur frère… Elle se laissa tomber par terre, assise en tailleur alors qu’elle offrait un sourire mutin et complice à sa jumelle, en jouant avec les pans de la robe de cette dernière. Un petit moment privilégié et entre sœurs ne pouvait pas leur faire de mal !
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