Vous devrez écrire ici l'histoire de votre personnage de son enfance à maintenant et de la forme que vous voulez. Nous demandons un minimum de trente lignes, si vous avez du mal à réaliser autant de lignes, nous vous conseillons d'ajouter des dialogues ou un peu plus de description cela aide beaucoup

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Saige marchait doucement dans les couloirs du château, un acte que l'on assistait seulement la nuit. Elle était souvent en train de courir partout, vagabondant à droite et à gauche, les trois quarts du temps. Elle aimait se sentir libre, aussi libre qu'un oiseau. L'idée même qu'on essaye de la retenir dans une cage n'était pas envisageable et encore moins imaginable. Elle n'aimait pas non plus qu'on l'a prenne trop longtemps dans les bras, elle se sentait oppressée, comme si l'on voulait l'enlever. Non, saige n'était pas quelqu'un que l'on pouvait dompter, et elle était une Windsor dans toute sa splendeur. Elle était libre comme le vent de faire ce qu'elle souhaite quand elle le souhaite. Elle se rendait aux cuisines, un de ses endroits favoris puisqu'il y avait de la nourriture en abondance. La jeune femme s'y rendait à l'aide de passages secrets diverses et variés. Souvent dans la nuit, il lui arrivait d'avoir un petit creux ou juste une simple envie de s'occuper par gourmandise en repensant aux repas royaux auxquels elle a le droit et la chance de participer chaque jours. En arrivant comme une furie, elle fit peur à un garcon qui au teint qu'avais pris son visage, c'est-à-dire complètement rouge, il ne devrait pas se trouver ici à une heure pareille. Ce dernier fit tomber le bout de pain qu'il tenait dans ses mains, la jeune femme s'avança vers lui et le ramassa pour le lui rendre. « Tu sais je vais pas te balancer, je devrais etre dans mon lit moi aussi. » Son visage était redevenu normal, il ne savait pas pourquoi il devait lui faire confiance, mais il avait envie de la croire sur parole sans lui poser la moindre question.« Je m'appelle Ella. » « Finnick, moi c'est Finnick. » « Enchanté Finnick. » Il était le fils d'un des serviteurs du château. Son père était réputé pour être quelqu'un d'assez stricte et sévère avec sa famille. Il n'appréciait pas le fait qu'il aille voler dans les cuisines du château pour subvenir aux besoins de leur famille, trop orgueilleux pour accepter qu'il était nécessaire pour eux que Finnick emploie de tels moyens pour qu'ils ne meurent pas de faim. La mère de ce dernier l'avait compris, bien qu'elle n'appréciait pas non plus qu'il ait à employer ce genre de moyen, ils n'arrivaient pas financièrement à s'en sortir avec leur quatre enfants à charge. « Elle est jolie cette pomme, elle est rouge et glaciale comme le sang. Attrape-là moi s'il te plait. » « D'accord, seulement si j'ai quelque chose en échange. » « Comme quoi ? » « Un bisous. » « Comme les grands ? » « Erk. » Il ne fut pas longtemps pour comprendre que ces deux-là etaient fait pour s'entendre. Les semaines qui suivirent, ils ne se sont pas quitté d'une semelle. Elle lui fit decouvrir tous les recoins du château, ses lieux favoris et la nuit, ils se retrouvaient même dans les cuisines. Il l'a protégeait et elle le couvrait. Ils se coordonaient parfaitement l'un avec l'autre. Elle était son ombre et lui la sienne. Ils n'avaient même plus besoin de mots pour se comprendre. Finnick lui appris même le language des signes qu'ils utilisaient pour communiquer parfois quand ils en voyaient la nécessité. Le plus jeune des frères de Finnick est sourd et par conséquent il a fallu qu'il apprenne très vite ce type de langage pour pouvoir parler avec lui. Ils se voyaient en cachette, ils avaient besoin d'un langage spécial pour communiquer... Ils n'avaient pas le droit de se cotoyer, personne ne savait qu'ils étaient amis.

Pendant le feu qui a sévit au château des Windsor lors de la guerre qui a opposé toutes les catégories de sangs, Finnick et Ella se sont fait surprendre en train de s'embrasser dans les cuisines par le père de Finnick. Un baiser qui se voulait innocent, comme pour montrer son affection l'un envers l'autre sans pour autant bousculer quoi que ce soit. Avant de pouvoir mettre la main sur son fils ou encore d'effleurer ne serait que le moindre des cheveux de la jeune princesse, ce dernier périt dans le feu qui s'était propagé à une vitesse fulgurante. Finnick était désemparé, complètement sous le choc de cette scène effroyable dont il avait été tout bonnement impuissant. Il n'appréciait guère son père, mais il restait son père bien qu'il n'eut jamais été l'un de ses fils favoris. Ella le tira tant bien que mal vers elle, puis ils finirent pas s'échapper par la fenêtre de la cuisine. Ils ne comprenaient pas ce qui était en train de se produire, ils n'arrivaient pas à réaliser qu'ils avaient tout perdu en une fraction de secondes. Ella voulait savoir si elle avait encore une chance de revoir ses parents en vie, elle voulait savoir si sa soeur Belle s'en était sortie. Elle voulait savoir si elle avait encore cette infime chance d’apercevoir un des siens survivre à cette catastrophe. Finnick ne lui laissa pas partir, il était évident qu'il n'y avait plus rien à faire. Le château était en lambeau, on pouvait entrevoir des corps calcinés, Ella était inconsolable. C'est à partir de là qu'il lui fit la promesse de ne jamais la laissé tomber, de ne jamais l'a quitter. Tant qu'il serait là, tout irait bien pour elle. Ils allaient devoir se serrer les coudes, et Finnick était prêt à tout pour sauver ce qui lui restait encore de précieux dans ce monde. Ils ont essayés de survivre seuls, mais ça n'a pas fonctionné. Ils ont été capturés et envoyés dans les camps moldus, une expérience traumatisante l'un comme pour l'autre. Ils ont été torturé de la pire des manière pendant deux années consécutives. Ella cru qu'elle allait mourir dans ces murs, et c'est ainsi qu'une mini romance eut commencé entre les deux jeunes amis. Ils étaient proches, ils avaient besoins d'affections pour tenir le coup. Des câlins, des baisers, par-ci et là, ils se donnaient mutuellement de la force pour rester en vie. Au moment où ils crurent que leur calvaire allait prendre fin, lors de leur vente, ce n'était encore que le début de la fin des haricots. Finnick eut plus de chance que Saige pour le coup, son maître était tout sauf un badass alors que la maîtresse de cette dernière était plus le genre vengeresse.


Il était assis devant moi, accoudé à cette vieille table en bois. Je ne savais pourquoi, mais mon coeur se noua à l'aide d'une infinité de ficelles, qui - au fur et à mesure que nos regards s'entrecroisaient - se serraient un peu plus chaque secondes, comme si on voulait le faire saigner davantage. Je ne mis pas longtemps à comprendre ce qui me mettais dans un tel état, je venais bel et bien de trouver la cause de cette douleur. Il avait les yeux rouges et remplis de ces larmes qui ne demandait qu'à s'enfuir, ces larmes dont je faisais tout juste la connaissance. Jamais, au grand jamais je ne l'avais vue dans un tel état. Nous avions vue et tout vécu ensemble. Finnick avait été celui qui m'avais renforcé, c'était grâce à lui si j'avais réussi à tenir sur mes deux jambes, il était tellement épatant et doté d'une force incroyable. C'était également quelqu'un d'intelligent et de réfléchit. Il était tout bonnemement la personne la plus merveilleuse que j'eus rencontrer dans ma pitoyable vie. C'est grâce à lui si j'avais survécu lors des camps moldus, il était mon cerveau et moi les jambes. « Tu ne m'as jamais donner de réponse » c'était donc ça qu'il souhaitait, c'était donc à qui le mettait dans un tel état. Moi. Mes sentiments à son égard étaient évidemment très fort, mais depuis que j'avais rencontré Bralleth tout était devenu compliqué et ingérable. Notre relation ne s'était pas dégradée, mais nous n'étions pas autant invincible que je le pensais. Nous avions des failles et c'etait dur à accepter que quelque chose puisse nous atteindre a ce point. Bralleth était son maître, ce qui ne formait pas une très bonne équation dans son ensemble. Moi, lui et Bralleth étions tous trois le futur résultat qui allait poser de nombreux problèmes à l'avenir. « Je ne sais pas quoi te dire... » « Alors ne dit rien, ne dit rien. » Je me détestais au plus haut point. Nous avions toujours été fait pour etre ensemble, c’était écrit dans les livres, mais avec Bralleth je sentais que c'etait bien plus fort que ça.. J'avais l'impression que c'était écrit dans les étoiles. Pourtant sans que je ne sache pourquoi, mes lèvres vinrent se coller aux siennes. Un geste qui fut naturel sur le moment et qui dura plusieurs secondes dans l'instant. Lorsque je retira mon visage du sien, il me regarda, si intensément, si profondément que j'avais l'impression de me noyer dans ses yeux bleu, de me suicider en lui. Étrange impression, trop étrange pour que je fasse impasse sur ce qui venait de se passer. « T'en fais pas ça va passer. » Il m'avais pris de cour, et j'espérais égoïstement autant que sincèrement qu'il le ferait. Notre amitié était unique et je ne voulais pas le perdre. Pour nous, je savais qu'il éteindrais une nouvelle fois la lumière de ses sentiments, tel un interrupteur, qu'il laisserait délibérément sur off jusqu'au restant de ses jours. Bralleth avait beau ressentir des choses pour Isye, malgré tout je n'arrivais pas à me passer de lui. Il s'était imposé à moi, comme je m'étais imposé dans la vie de Finnick. Je devais faire un choix et aussi fou soit-il, je préférais jouer la carte de la souffrance et de la difficulté. Je préférais choisir le maître de mon meilleur ami quel qu'en soit le prix. « On ne peut pas etre ensemble, tu le sais. » « Je le sais. » C'est pour ça que je trouvais qu'il était la personne la plus merveilleuse que j'ai rencontré. Il savait ma réponse avant même que je commence à bouger mes lèvres, il me connaissait par coeur, sur le bout des doigts. Nous savions l'un comme l'autre qu'être amants ne nous réussirait pas, mais que nous n'étions pas simples amis pour autant. Notre amitié est spéciale, et nous nous devions de l'a gardé ainsi. On le savait tous les deux que c'était impossible que l'on soit plus que notre amitié, car on au fond ca avait toujours été plus que tout ce que l'on pouvait imaginer. « Malgré tout je savais que tu ferais ça. » « Pourquoi ? » « Parce que je souffre. C'est le seul moyen pour moi de capter ton attention. »

écriiiiiiiiiiiiiiit très à l'arrache

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Une à une, comme chaque soir, elles s’acharnaient sur la personne la plus faible de la pièce, Saige. Elles étaient trois et elle, elle était seule. La jeune femme était incapable de leur faire face, elle devait surmonter/prendre sur elle tout leur caprice, supporter toutes leurs jérémiades, et ceux tous les jours... Elle était leur souffre douleur, le jouet qui défoulait après une dure journée de travail. Cette soirée-là, cendrillon n’avait pas la tête à se faire critiquer dans tous les sens du terme, non, ce qu’elle voulait c’est qu’on lui foute la paix ne serait-ce que quelques minutes voir même quelques heures. Une utopie auquel elle rêvait depuis qu’elle avait mis les pieds dans la demeure des trois « pestes ». Elle était à genoux s’appuyant sur sa robe déchirée à cause de l'usure, en train de nettoyer le sol comme elle le pouvait à l’aide d’un vulgaire chiffon - comme s’ils n’avaient pas les moyens de lui payer du matériel correct pour effectuer ses tâches ménagères. C’était du Lucrezia dans toute sa splendeur qui avait « malencontreusement » renversé le pichet de vin lors du repas, ce genre d’incident lui arrivait un peu près cinquante fois par jours et encore, le chiffre pouvait s’élever plus haut parfois. Elle n’était pas maladroite, elle était juste une simple cruche sur patte. Une espèce qu'elle aimerait exterminé à coup de pelle. Elle le savait, ce qui avait poussé la blonde à acheter la princesse, c’est la beauté dérangeante de la Windsor. Ce visage angélique, sa prestance, son innocence et ce sourire narquois qu’elle portait dans les bons comme dans les mauvais moments. Saige représentait pour Lucrezia l’esclave parfaite, elle ne pouvait pas rêvé mieux qu'avoir une princesse sous ses ordres, même les plus odieux. La jalousie de cette dernière en était maladive, elle ne supportait pas son arrogance et pourtant, Saige ne disait jamais un mot plus haut qu’elle et c’est bien ça qui était dérangeant ; son silence posait problème. Elle ne montrait aucun signe de soumission, malgré qu’elle s’exécutait aussitôt sec dans ses tâches, à aucun moments dans ses yeux on pouvait déceler la moindre peur vis-à vis de sa maîtresse. La patience de la douce Saige avait des limites et actuellement, son cerveau était similaire à une bombe prête à exploser à tout moment. Elles n’arrêtaient pas de parler d’elle ouvertement et méchamment, des paroles qui blessaient la jeune femme plus que toutes les autres fois. Elle se détestait elle-même de les autoriser à la blesser ainsi, à transpercer cette carapace qu'elle avait forgé de toutes ses forces pendant toutes ces années. Une carapace qui semblait indestructible à première vue et qui maintenant était devenue presque inperceptible. Elle se retenait de pleurer, elle ne voulait pas s'avouer vaincu, mais elle aurait préféré ne jamais être venue au monde. La jeune femme se demandait si d'autres personnes étaient dans sa situation, si des personnes étaient aussi malchanceux qu'elle et souffrait autant qu'elle souffrait à cet instant précis. Son ciel bleu et ensoleillé était devenu sombre et ténébreux, des orages fusillaient de part et d'autres, l'âme de Saige était en train de quitté la terre pour un monde meilleur, un monde humain. Pour elle reconnaître qu'elles avaient un impact sur sa personne était pire que tout, pire que la mort en elle même.

« Allez bouge toi, pas belle » « Un bon coup de pied aux fesses, je suis sur que ça l'a réveillerait » « Elle très bien par terre, elle n'est capable que de faire ça, on ne va pas l'a priver de son don si... particulier »

Elles partirent en éclats de rire de la pièce fière d'avoir brisé leur esclave, de l'avoir blessé une fois de plus. Elle lâcha d'un coup sec le torchon et observa la pièce d'un regard vide. C'était une immense pièce, elle était plutôt sombre et tout ce qu'il y avait à l'intérieur était impeccable. Un travail qu'effectuait Saige à la perfection, elles n'avaient pas tord, elle était doué pour ce qui était de s'occuper d'un toit. Elle réussit à garder son calme, encore une fois, mais ce n'était pas assez pour contenir ses larmes. Elle mis les mains devant son visage puis sanglota, elles avaient réussi leur coup, elles avaient réussi à la faire se sentir plus bas que terre. Elle n'avait plus le goût à rien, elle se sentait faible et impuissante. Elle détestait cette sensation, cette emprise qu'elle avait eut sur elle quelques minutes plus tôt. Elle n'était pas née pour ça, comment pouvait-on avoir une aussi mauvaise étoile que la sienne ? Saige aurait voulu être comme cendrillon et avoir sa bonne fée à ses côtés, elle aurait voulu qu'Isÿe soit là. La jeune femme regrettait le temps où tout était simple. Le temps où elle se contentait juste de profiter des petites choses que lui apportait la vie. Ses habitudes qu'elle avait avec Finnick de traîner par-ci et là, sans se prendre la tête de quoi sera fait demain ou encore de parler tranquillement dans un coin du château avec sa soeur de tout et n'importe quoi. Ses parents lui manquaient, elle enviait ces trois filles, elles avaient encore leur parent et ne mesurait pas la chance qu'elles avaient. Saige se releva d'un coup sec puis partie en courant de la pièce laissant derrière elle son travail inachevé. Elle courrait vite sans réellement savoir où elle s'arrêterait, elle se contentait juste de courir jusqu'à ne plus pouvoir mettre un pied devant l'autre. La jeune femme ne pouvait plus s'arrêter de pleurer, c'était comme si elle lâchait tout ce qu'elle avait contenue depuis toutes ces années, en l'espace de quelques minutes. Elle couru jusqu'à poser ses pieds au bord du toit de l'école de magie, c'était bizarre. C'était bizarre dans le sens où elle n'avait jamais pensé à ce que ça ferait si elle sautait, si elle faisait un pas de plus. La mort était quelque chose dont elle n'avait jamais songer ou tout du moins, elle n'avait jamais songé à se donner la mort. La blonde avait toujours pensé que quelqu'un se chargerait de l'éliminé avant de pouvoir penser à cette possibilité ou qu'elle aurait une fin héroïque qui serait différente de toutes les autres. Saige aimait cette sensation d'adrénaline qui l'envahissait si elle se mettait à sauter.